Le 8 07 2014
Notre journée commence par la visite des gorges. Elles se parcourent depuis le haut sur un petit chemin.
La rivière coule 100 mètres plus bas.
Doreen cherche à prendre de la hauteur
pour éviter les petits points de vue au bord du vide.
La visite est terminée, nous voilà partis pour 44 km de piste vers le paysage dévasté d’une éruption des années 1780.
Nous avions bien été prévenus des rivières à traverser, et bien en voilà déjà une.
Les instructions son alarmantes.
Alors profitons du passage de ce petit Jimmy pour voir. S’il ne tombe pas dans un trou, on y va.
Ça passe très bien. (même trois fois de suite pour que Doreen puisse faire films et photos).
Nous en aurons plusieurs autres à traverser.
De loin, nous apercevons les coulées de laves solidifiées.
De près, c’est encore plus impressionnant.
Maintenant, tout est recouvert de mousse, mais on peut imaginer le spectacle de cette lave incandescente en mouvement.
Étonnamment, ce petit coin, au milieu des cendres noires, pourrait bien se trouver au fond de l’océan indien.
Comme ces fleurs, elle sont bien isolées sur la cendre noire.
Nous nous arrêtons un moment pour que Michel puisse visiter une petite grotte sous la lave.
Pas de chance, alors que nous sommes arrêtés depuis 15 mn, une garde de la réserve nous menace d’un avertissement pour être sortis (de deux mètres) de la piste. Même pour s’arrêter, c’est formellement interdit alors que si nous avions croisé une voiture, nous aurions fait la même chose.
Attention, ici, la loi c’est la loi. On pas là pour l’interpréter.
Nous continuons la promenade au travers de la barrière de volcans. Certains ont encore une forme digne,
Mais celui ci a bien explosé…
Il laisse maintenant en son milieu, un joli lac.
La piste au milieu de cette tourmente est parfois d’une douceur incroyable.
Et au bord, les contrastes saisissants.
Impossible de passer inaperçu pour le retour, Nous sommes observés.
On aurait préféré une meilleure météo pour cette journée, mais en Iceland, en juillet, c’est comme ça !