Bon, OK, la photo à la une, prise à Palm Beach, n’a rien à voir avec le sujet, mais elle illustre bien cette Amérique où presque tout est permis.
Après avoir trouvé Miami assez décevant, nous remontons par Palm Beach, et là, c’est vraiment autre chose…
En bord de mer, les maisons, ou plutôt les palais sont à la hauteur de la réputation de la ville
Ici, on aime le « beau »
Ensuite, nous prenons la direction de Daytona.
Juste avant d’arriver en ville, à cette station
où ne faisons que le plein d’eau, Pépère interpelle un homme qui engage la discussion. Il est responsable de la communication du département compétition de Cadillac pour le championnat endurance et Le Mans
Après avoir répondu à toutes ses questions sur Pépère et notre tour du monde, il donne tous les éléments à Michel pour qu’il puisse piloter une voiture de la Nascar sur l’ovale de Daytona.
La suite, on la connait avec l’article sur la Nascar.
Mais, Daytona, n’est pas uniquement un ovale sur lequel tourne en rond des autos de course.
C’est aussi la mythique plage de sable accessible aux engins en tout genre, alors, coté engin en tout genre, Pépère se doit de la parcourir.
Les mêmes roulent également sur les routes et autoroutes
C’est vraiment un grand espace de liberté
De loin, cette vision est assez irréelle
Mais oui ! nous sommes dans le pays des Amish et des Mormons. Parfois, ils profitent des mêmes plaisirs que nous.
Bon ! on peut faire les kakou aussi…
Un dernier petit coup, au bar du coin, dans des contenants qui sortent de l’ordinaire.
Ils nous sont offerts en souvenir avec la boisson.
Et nous terminons notre séjour à Daytona, en camping sauvage au bord de la mer.
Doreen a vu que, plus loin, se trouve la première ville coloniale des Etats Unis. En bon touristes respectueux de leurs devoirs, nous y faisons un pèlerinage.
La visite commence par le Fort. Le premier sur les terres de États Unis érigé en 1565
La grande cour intérieure
A servi de refuge aux paysans alentour pendant les attaques des pirates, mais également de prison aux derniers Apaches irréductibles de la famille de Geronimo.
La ville est très belle et rappelle les constructions espagnoles que nous avions vues au Mexique.
Ici, une université
Avec son hall d’entrée. Quel cadre extraordinaire pour les étudiants
Entre deux grosses averses tropicales,
Nous allons visiter l’incontournable prison de la ville.
A l’intérieur, le shérif nous accueil, c’est une réplique exacte du plus ignoble gardien de ces lieux.
Finalement, nous avons trouvé plus dur qu’Alcatraz.
Les cellules comportent 2 fois trois lits superposés. Seulement 60 cm sur la longueur du lit sont libres pour laisser se mouvoir les 6 prisonniers dans la moiteur du climat tropical.
Peut-être qu’après leur journée de « travail », le soir, complètement épuisés, ils dormaient.
Des mannequins de prisonniers plus vrais que nature, laissent encore mieux imaginer la vie ici.
De toute façon, la sortie était par là dans presque tout le cas.